ÉPISODE 263

Lundi 29 août 1966
Liberté sous caution
Lee
Webber, libéré sous caution, a des mots durs à l’égard d’Allison. Michael et
Steven ont une dispute au sujet du nouveau client de Steven. Allison revit
quelques étranges moments avant de disparaître dans la nature…
Audience Nielsen 1ère diffusion :
20,9 millions de téléspectateurs
soit 37,5 % |
NARRATION : WARNER
ANDERSON
Steven Cord a une mission douloureuse à accomplir. Il doit examiner les
effets de sa défunte sœur Ann Howard. Le Dr Michael Rossi, qui avait prévu
de se marier avec Ann, a évité cette tâche depuis ce temps. Aujourd’hui, il
pense qu’il ne peut plus remettre davantage cela.
NOTE DE MARVIN
Lee sera plus tard remis en prison pour avoir parlé à Allison.
INTRO
Sur le quai près de la maison d’hôtes, Steven gare sa décapotable et sort de
la voiture. Rossi conduit, klaxonne, et sort à son tour de sa voiture.
SCENE 1
Steven et le Dr Rossi parlent d’Ann. Steven dit à Michael qu’il y a
peut-être des effets d’Ann qu’il aimerait garder. Mais Mike n’a besoin de
rien pour se souvenir d’elle. Steven lui dit qu’Ann était dérangée. Mais le
médecin n’est pas de cet avis. Ils se disputent à propos de la décision de
Steven de défendre Lee Weber.
Dialogues de la scène 1
Steven Cord et le Dr Michael Rossi arrivent à la maison d’hôtes. Steven
arrive en premier, sort de sa décapotable et grimpe les escaliers. Il est à
la moitié des marches lorsque Mike arrive, klaxonne et sort de sa voiture.
STEVEN : Mike, j’ai essayé de vous joindre à l’hôpital.
MICHAEL : Que faites-vous, Steven ?
STEVEN : Et bien, je viens chercher les effets d’Ann. J’ai pensé que vous
aimeriez venir avec moi. Il y a peut-être quelques objets que vous aimeriez
garder.
MICHAEL : Je ne pense pas avoir besoin de quoi que ce soit pour me rappeler
Ann.
STEVEN : Comme vous voudrez.
Steven continue à monter les marches des escaliers.
MICHAEL : Steve ?
Le Dr Rossi rejoint Steven en haut des escaliers, puis ils entrent à
l’intérieur de l’appartement.
STEVEN : Pas grand-chose à voir, n’est-ce pas ?
MICHAEL : Elle avait tellement de temps, vous savez. Du temps pour tout
planifier. Toutes ces choses qu’elle… toutes ces choses que nous avions
prévus de faire ensemble. Faire table rase du passé. Tellement de temps. Lee
va payer pour cela.
STEVEN : Quoi ?
MICHAEL : Le temps de Lee Webber est compté.
STEVEN : C’est à la Cour de décider.
MICHAEL : Allons. Pouvez-vous oublier que vous êtes un avocat, pour une fois
?
STEVEN : Vous n’avez pas le monopole du chagrin, Mike. Elle était ma sœur.
MICHAEL : Très bien, alors, agissez comme tel. N’allez pas me parler de la
procédure judiciaire.
STEVEN : Je dois le faire.
MICHAEL : Pourquoi ? Pourquoi ne réagissez-vous pas comme tout le monde le
fait ? Votre sœur a été assassinée par Lee Webber.
STEVEN : Je vais défendre Lee.
Michael se dirige vers Steven pour le regarder droit dans les yeux.
STEVEN : Je ne voulais pas vous le dire de cette façon.
MICHAEL : Pourquoi ?
STEVEN : Parce que vous me l’avez demandé. Et que je suis avocat.
MICHAEL : Mais vous êtes ici. Vous me dites que vous avez du chagrin, et
vous allez défendre l’homme qui a tué votre sœur.
STEVEN : Ca n’a pas été prouvé.
MICHAEL : Mais c’était votre sœur.
STEVEN : Elle était perturbée.
MICHAEL : Ne dites pas ça.
STEVEN : C’est la vérité.
MICHAEL : Elle était heureuse. Nous allions nous marier.
STEVEN : Il y a des choses dans son passé qu’elle n’a jamais oublié. Des
choses qu’elle n’aurait jamais pu oublier. Et ça l’a conduit à…
MICHAEL : A quoi ?
STEVEN : …A sa mort.
MICHAEL : C’est un mensonge. Vous êtes très vif, Cord. Je veux dire, vous
êtes agile. Vous êtes prêt à sauter tous les obstacles qui sont apparents
quoiqu’il en coûte, tout ça pour votre précieuse carrière.
STEVEN : Je ne m’attendais pas à ce que vous compreniez.
MICHAEL : Oh, je comprends parfaitement. Je peux déjà voir les gros titres
des journaux : un jeune avocat fougueux et talentueux prêt à défendre les
opprimés. Mais cet opprimé en question est l’homme qui a tué votre sœur.
Cependant, ça ne fait aucune différence pour vous du moment que ça tourne à
votre avantage. Parce que la seule chose qui est importante pour vous, c’est
votre petite personne.
Michael saisit un croquis de lui fait par Ann.
MICHAEL : Ca ne se passera pas comme ça.
STEVEN : Qu’allez-vous faire ?
MICHAEL : Je vais vous dire ce que je vais faire. Je vais fourrer les gros
titres des journaux dans votre gorge jusqu’à vous voir étouffer.
Il tourne les talons et, muni de son croquis, quitte l’appartement.
SCENE 2
Steven se rend en prison pour libérer sous caution Lee. L’avocat lui dit
comment agir une fois qu’il sera sorti. Le Sergent William Wilson Walker se
trouve à la table. Lee est sur le point de partir sans signer sa liberté
sous caution.
Dialogues de la scène 2
LEE : C’est fait.
STEVEN : Pas si vite. Je vais vous donner quelques règles à respecter une
fois que vous serez dehors. Premièrement, restez à la maison. Deuxièmement,
n’essayez même pas d’éternuer sans mon consentement.
LEE (sarcastique) : Vous voulez aussi changer mes couches culottes ?
STEVEN : Je n’ai pas encore fini. La minute où vous passerez cette porte,
votre procès démarrera. Chaque geste, chaque murmure feront de vous soit un
innocent, soit un coupable. Je vous ai sorti de prison, mais ce n’est pas un
passeport pour le paradis. Je vous tiens en laisse.
LEE : Je ne suis pas prêt à faire de faire quoi que ce soit, si ça peut vous
rassurer.
STEVEN : Aussi longtemps que vous vous souviendrez de cela, vous avez un
avocat.
LEE : Ca me paraît correct.
Lee s’apprête à quitter la pièce.
WILSON : Webber.
Lee retourne près du sergent, signe, reprend ses clés et son peigne et sort
de la pièce.
Ils se retrouvent à l’extérieur du Palais de Justice.
LEE : Merci, Maître.
STEVEN : Ce n’est pas encore fini. Soyez à mon bureau à 9 heures pour que
nous puissions préparer votre défense. Au revoir, Lee.
LEE : A bientôt, Maître.
SCENE 3
Mlle Choate rend visite à Allison dans sa chambre. Allison demande à
récupérer son bracelet. Mlle Choate le met autour du poignet gauche de la
jeune fille, juste à côté de son bracelet d’identification de l’hôpital.
Allison lit tout haut l’inscription en français du bracelet :
JE VEILLE SUR CEUX QUE J’AIME
Allison prend ses
habits et quitte l’hôpital.
Dialogues de la scène 3
Allison est dans son lit d’hôpital tandis que l’infirmière en chef Choate
entre. Allison l’avait juste fait appelé avant.
CHOATE : Allison.
ALLISON : Oh, vous avez fait vite. Merci.
CHOATE : Je ne voulais pas que vous vous inquiétiez. Voyez-vous, nous
prenons toujours en compte les désirs de nos patients.
ALLISON : Je suis désolée. J’espère que je n’étais pas trop impolie au
téléphone.
CHOATE : Non, tout va bien.
ALLISON : Je me suis réveillée il y a quelques minutes et j’ai vu que je
n’avais plus mon bracelet. Lorsque j’ai découvert qu’il n’était plus à mon
bras, j’ai en quelque sorte paniquée. Mon père me l’a donné.
CHOATE : Oh.
ALLISON : Est-ce que je pourrais le récupérer ? Mon bracelet ?
CHOATE (hésitante) : Et bien, je…
ALLISON : S’il vous plaît. Je ne serai ici qu’une seule nuit. Je me
sentirais perdu sans lui.
CHOATE : Très bien. Ce sera notre petit secret.
ALLISON : Merci. Est-ce que ma mère est toujours ici ?
CHOATE : Non, le Dr Rossi l’a ramenée à la maison. Elle était très fatiguée.
ALLISON : J’aimerais qu’elle prenne plus soin d’elle.
CHOATE : Elle s’inquiétait pour vous.
ALLISON : Le bébé peut arriver très bientôt, vous savez.
Choate met le bracelet autour du poignet d’Allison.
CHOATE : Voilà.
ALLISON : Merci. Merci. Quel est votre nom ?
CHOATE : Mlle Choate.
ALLISON : Je vous ai déjà vue auparavant, n’est-ce pas ?
CHOATE : Oui, nous avions déjà parlé.
ALLISON : Oui, je me souviens, maintenant.
CHOATE : Voudriez-vous un comprimé pour dormir ?
ALLISON : Non, merci. Je n’en ai pas besoin.
CHOATE : Et bien, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à
appeler. Vous êtes une patiente très spéciale ici, Allison.
ALLISON : Vraiment ?
CHOATE : Oh oui. Le Dr Rossi a laissé comme instructions de bien faire
attention à vous.
ALLISON : Il a fait cela ? C’est très gentil à lui.
CHOATE : Maintenant, essayez de dormir et je reviendrais d’ici une heure.
Bonne nuit.
ALLISON : Bonne nuit. Merci.
L’infirmière Choate quitte la pièce.
ALLISON (en français) : Je veille sur ceux que j’aime.
Elle entend la voix d’Elliot comme un écho qui répète la phrase en anglais.
ELLIOT (en anglais) : Je veille sur ceux que j’aime.
NOTE DE MARVIN
Le but de cette scène est d’informer le téléspectateur qu’Allison avait son
bracelet avec elle lorsqu’elle a quitté la ville, ce qui sera très important
pour la suite de l’histoire.
SCENE 4
Steven et Betty se disputent dans la voiture à propos des motivations de
Steven à accepter l’affaire Webber. Betty pense qu’il fait ceci pour punir
Hannah. Steven lui dit que tout ce qu’il demande de Betty, c’est d’avoir le
bénéfice du doute. Steven sort de la voiture et va ouvrir la portière à
Betty. Allison marche seule dans le square, près du Palais de Justice. Betty
et Steven la voient. Elle se dirige vers le kiosque à musique, tout en
hallucinant.
Dialogues de la scène 4
Steven et Betty sont dans la voiture, en face de l’auberge.
STEVEN : On devrait en parler.
BETTY : Je ne pense pas, Steven.
STEVEN : J’ai pris l’affaire Lee Webber parce que je crois qu’il est
innocent. Point final.
BETTY : Fin du discours ?
STEVEN : C’est la vérité, Betty.
BETTY : Vraiment ?
STEVEN : Je t’ai donné toutes les raisons.
BETTY : A l’exception d’une. La vengeance.
STEVEN : La justice.
BETTY : C’est juste un mot, Steven, mais j’ai peur que dans ta bouche il ne
perde toute sa signification… Nous sommes en retard pour notre réservation à
dîner. Très bien. Je me bats pour toi, Steven. Parce que je ne pense pas que
ce soit important pour toi que Lee soit coupable ou innocent. Du moment que
tu prends ta revanche sur Martin Peyton et ta mère.
STEVEN : Ils sont responsables de la mort d’Ann, j’en suis convaincu.
BETTY : Mais tu n’as aucune preuve.
STEVEN : Je veux une chance d’en découvrir.
BETTY : Très bien, mais comment ? En défendant Lee Webber ?
STEVEN : Il est la seule arme que je possède.
BETTY : Il n’est pas une arme. Il est une massue que tu peux utiliser pour
frapper Martin Peyton et ta mère pour te révéler la vérité. Il est une
excuse, Steven, un compromis. Chéri, tu es un bon avocat, mais tu vends une
part de toi-même à un bas prix.
STEVEN : Et s’il n’avait pas tué Ann…
BETTY : Et bien, dans ce cas, ils le relâcheront.
STEVEN : Comme ils ont relâchés Rodney ?
BETTY : Ce n’est pas la même chose.
STEVEN : Betty, j’aurais pu ne pas défendre Rodney pour des centaines de
raisons. Il y en a dix fois plus pour Lee Webber. Mais je le fais parce que
je suis avocat.
BETTY : Et parce que tu crois honnêtement qu’il n’a pas tué ta sœur ?
STEVEN : Betty, tout ce que je te demande est de me laisser le bénéfice du
doute. Ne me juge pas si rapidement comme tu le fais toujours. Attends,
Betty, attends jusqu’à ce qu’il y ait des retours.
Musique dramatique.
STEVEN : Je t’aime.
Steven sort de sa voiture, en fait le tour et ouvre la portière à Betty.
BETTY : N’est-ce pas Allison ?
STEVEN : Je pense que oui.
BETTY : Que fait-elle toute seule ? Elle a l’air bizarre. Tu penses qu’on
devrait l’inviter à se joindre à nous ?
STEVEN (évitant soigneusement la question) : Tu descends ?
BETTY : Je pense qu’elle veut qu’on la laisse seule. Allez viens, allons à
l’auberge.
Betty et Steven se dirigent à pieds vers l’auberge.
Allison déambule vers le kiosque à musique et entend dans sa tête les voix
de Chris, de Constance, d’Elliot et de Rodney.
CHRIS : Tu n’as jamais pris soin de quiconque à part de toi. Tu n’as jamais
aimé personne d’autre. Tu es incapable d’aimer, Allison. Incapable. (Episode
260, scène 1).
CONSTANCE : Allison, ton père et moi ne nous somme pas mariés. Nous ne
pouvions pas nous marier, Allison. Sa femme a été assassinée et nous ne
pouvions pas nous marier. Elliot est ton père. Elliot Carson. (Episode 63,
scène 1).
ELLIOT (en français) : Je veille sur ceux que j’aime. (en anglais) : Je
veille sur ceux que j’aime, je veille sur ceux que j’aime. (Episode 82 scène
2 ; épisode 166 scène 3 ; épisode 263 scène 3 ; épisode 265 scène 3)
RODNEY : Je sais que tu n’aimes pas qu’on t’appelle « Fair Lady » ou «
Allison au pays des merveilles ». Mais il y aura toujours une part de toi
qui restera « Allison aux pays des merveilles ». Et c’est cette Allison que
j’aime. C’est cette partie de toi que j’aime. C’est cette partie de toi que
je connais. (Episode 228, scène 3).
SCENE 5
Lee Webber se rend au Shoreline Garage pour prendre de l’essence pour sa
mobylette. Il rencontre Rodney qu’il appelle « Golden Boy ». Il l’informe
que Steven l’a fait sortir de prison. Rodney ne le croit pas et commence à
appeler Steven. Lee et Rodney commencent à se disputer. Rodney dit à Lee de
ficher le camp et de ne plus revenir.
Dialogues de la scène 5
Rodney est à sa table de travail en train d’écrire tandis que Lee arrive
et prend un peu d’essence pour ma mobylette.
LEE : Hey, Golden Boy.
Lee entre à l’intérieur du garage.
LEE : Tu ne viens donc pas aidé un bon vieux copain. Je suis presque à sec.
RODNEY : Qu’est-ce que tu fais dehors ?
LEE : Disons que j’ai un bon avocat.
RODNEY : Ouais. Un qui a la clé de ta cellule de prison ?
LEE : C’est comme ça que Steven Cord t’a fait sortir ?
RODNEY : Ne me dis pas que Steven Cord a prit ton affaire ?
LEE : Et bien si.
Rodney prend le téléphone et commence à composer le numéro de l’avocat.
LEE : Qu’est-ce que tu fais ?
RODNEY : J’appelle Steven Cord.
LEE : Je ne mens pas, Golden Boy. Il me défend.
RODNEY : Pourquoi ?
LEE : Tout simplement parce qu’il sait que je n’ai pas tué Ann Howard.
RODNEY : Il sait ça, hein. Et comment ?
LEE : Parce que je le lui ai dit.
RODNEY : Tu lui as dit quoi ?
LEE : Tiens, au fait, combien l’avais-tu payé pour ton procès ?
RODNEY : Tu l’as tuée, Lee.
LEE : Oh, voyons mon ami, ce n’est pas une façon de parler. Je veux dire par
là que je serai en droit de te poursuivre pour calomnie. Donne-moi juste un
verre de jus d’orange et on n’en parle plus.
RODNEY : Nous sommes fermés.
LEE : Il y a peu de temps tu étais dans la même merde que moi. Et
maintenant, tu es clean, un bon et loyal citoyen. Je veux simplement la même
chance que toi d’être disculpé. Qu’est-ce que tu cherches ? Me faire payer
la façon dont ils t’ont traité ? Qu’est-ce que ça fait d’avoir les portes
qui se ferment devant toi et les gens qui te tournent le dos ?
Lee saisit sa mobylette et s’en va.
SCENE 6
Allison déambule sur le quai. Elle est accostée par Lee Webber sur sa
mobylette. Lee dit à Allison de ne pas compter sur Rodney. Il lui dit de
redescendre sur terre et de trouver une place où se cacher. Lee la menace en
lui disant qu’il y a plein de coins sombres dans les parages.
Dialogues de la scène 6
Allison se tient sur le quai tandis que Lee arrive en mobylette. Il revient
tout juste du Shoreline Garage.
LEE : Il est un peu tard pour sortir seule, Allison. Tu as besoin de
quelqu’un qui veille sur toi, qui te sécurise.
ALLISON : Oui, qui ?
LEE : Le roi de la montagne. Rodney. Non, non, pas Rodney. Redescends sur
terre, et trouve-toi une place où te cacher, petite fille. Parce que je suis
sortie et il y a plein d’endroits sombres dans le coin.
ALLISON (les yeux dans le vide) : Oui, merci. Excusez-moi.
SCENE 7
Allison marche seule le long du quai. Elle passe devant le Shoreline Garage
et jette un regard vers Rodney. Rodney ne la voit pas. Elle continue sa
marche direction nord et s’éloigne dans la brume, pour ne plus jamais
revenir.
NOTE
Ceci est le dernier épisode où apparaît le personnage d’Allison
Mackenzie.
DANS LE PROCHAIN EPISODE
Elliot parle avec John Fowler, Rodney avec Steven et Betty, l’infirmière
Choate au téléphone avec le Dr Rossi.
ELLIOT : Allison est votre seule témoin. C’était son témoignage qui l’a jeté
en prison. Comment pouvez-vous accepter sa liberté sous caution ?
JOHN : Je n’ai pas mon mot à dire au sujet de la caution, vous le savez.
ELLIOT : Vous ne pouvez pas laisser Allison se promener dans les rues sans
protection.
RODNEY : J’ai entendu dire que tu as laissé Lee Webber sortir sous caution
cet après-midi.
STEVEN : Attends une minute, Rod.
RODNEY : Où est-il ?
STEVEN : Je ne sais pas.
CHOATE : Passez-moi le Dr Rossi à la maison, c’est une urgence. C’est très
très urgent. Dépêchez-vous.
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